Jack Andrew
Johnson

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♠ History and the end of your personality ♠

Qui auraient pensé que je vivrais comme ça ? Moi pas le premier car ce jour de Février le 14 plus précisément, par un froid a t'en glacer le sang, je poussais mon premier cri dans les bras d'un médecin qui me donna a une infirmière et qui partis avec moi. J'ai été abandonné par mes parents ce même jour, placé en foyer d'accueil je fut recueilli chez une famille très gentille a l’âge de mes 10 ans, dans cette famille j'ai découvert le foot, ce devient alors ma passion celle qui me donnera envie de me lever tous les jours, car oui depuis petit je suis assez dépressif pas suicidaire non plus. A cet âge là j'étais encore un petit garçon assez modèle, je n'avais pas le meilleur caractère, j'étais assez capricieux et manipulateur. Mes parents adoptifs ne disaient rien, racontant alors que c'était au choque de l'adoption et l'abandon de ma mère que tout avait dégrader chez moi, mais ils n'étaient pas au bout de leur peine. Je fus renvoyer à 16 ans dans mon orphelinat que je pensais ne plus jamais quitter, comment j'y suis retourner ? Cela étai t’il y a quelque mois tout se dégrada en encore plus l'entrée au Lycée, les premières copines, je ne suis pas du genre fidèle, enfin je ne l'ai jamais été ainsi les premières expériences. Mes parents adoptifs en on u très vite marre de moi et m'ont replacé en foyer, dans ce même orphelinat que j'avais quitté 6 ans plutôt, les mêmes amis étaient toujours ici, eux n'avaient pas eu cette chance de quitter ce maudit dortoirs. Je devais avoir 17 ans, quand je sauta de la fenêtre, et partis en courant loin de cet orphelinat mon ballon de foot sous le bras, saluant mes amis rester à la fenêtre, je partis en courant sur cette longue route, oubliant tout se passer maudit qui jusque la m'avait poursuivit ! Quittant l'Italie a tout jamais, oui je ne vous l'ai pas dit. Je suis italien, plus précisément Romain ! Avec l'argent que j'avais pu récolter ou économiser je me payais alors le premier billet d'avion possible pour l'Angleterre. Car tout ce que j'avais pu récolter sur mes vrais parents et qu'ils étaient mort il y a quelques années, mais ma grand - mère vivait toujours dans le cartier de Oxford ! De toute façon n'importe quoi pouvais être mieux qu'ici.

A peine arriver à Londres, je pris le bus pour la première fois et me mis à chercher le quartier Nord de Oxford, puis une petite ruelle et encore une et encore et encore et encore, enfin bref après 30 minutes de marche, je tombais sur une maison, digne de l'aristocratie. Je pris alors mon courage a deux mains, et alla sonner à cette porte, un monsieur vêtu d'une chose qui ressemblaient à un pingouin, failli me refermer la porte au nez, mais je la retenu avec le pied.

-Jack Johnson . . .

Le monsieur charger de cette porte poussa un petit cri qui me fit sursauter et cria dans la maison a la recherche de la propriétaire sûrement, puis après quelque instant il me fit gentiment entrer, et me dirigea vers ce qui devait être le salon, je regardais tout autour de moi en me disant que sa ne devait pas être possible que je ne puisse pas appartenir à ce monde. Puis quelques minutes plus tard, une femme, encore assez jeune se présenta devant moi en me tendant la main.

- Mélinda Johnson . . . Ta grand-mère !

Je resta quelques minutes la bouche ouverte, j'étais sous le choque, qu'elle connaisse mon existence déjà, et que je soie vraiment dans ce monde ci, ce monde que j'aurais rêvé, admirer, mais jamais habiter. Après quelques heures a discuter, ma grand - mère m'avoua que me ma mère n'avait que 17 ans quand elle ma eu, et qu’elle ne pouvait pas me garder sinon sa serais une sorte de déshonneur pour la famille, mais que jamais, pas un seul instant elle n’a cesser de penser a moi. Ma grand - mère me proposa de vivre chez elle, mais je lui parla aussi tôt ce cette école au États-unis, et qu'il fallait que j'aille la bas, pour me trouver un appartement, un travaille également, enfin tout ce qui va avec. Mais elle refusa, prétextant avoir louper trop d'année, et qu'elle avait déjà une maison la bas ou je pourrais habiter et que de l'argent je n'en avais pas besoin, grâce à héritage de mes parents

Ma grand-mère me disait au combien je pouvais ressembler à mon fils, les mêmes yeux noir ainsi que les cheveux, ce sourire en coin qui a fait ravager bon nombre de filles. Mais mon nez, il paraît qu'il est de ma mère très beau paraît t'il, alors que moi sa a toujours été mon complexe. Voilà quelque temps que je vivais chez ma grand-mère, près de 3 ans maintenant. Je m'étais inscrit pour la rentrée, sois mes 21 ans. Disant adieu a l'Angleterre j'embarquais alors vers les États Unis ce pays qui ma fait tant rêver. Et ou je pourrais pratique ma passion ! Le foot. !